this is for holding javascript data
Morgan Deleted File
almost 8 years ago
Commit id: a548bcd47002b58550ba2bf00404374860a0c8ac
deletions | additions
diff --git a/Figure_228_Structure.tex b/Figure_228_Structure.tex
deleted file mode 100644
index ae29394..0000000
--- a/Figure_228_Structure.tex
+++ /dev/null
...
Figure 2.28~: Structure multicouche anisotrope homogène
\subsection{Adéquation entre les modèles des sous-ensembles et les
différentes codes de
calculs}\label{aduxe9quation-entre-les-moduxe8les-des-sous-ensembles-et-les-diffuxe9rentes-codes-de-calculs}
Le recours à la simulation numérique, dès le lancement d'un projet est
devenu incontournable dans l'industrie automobile. La prise en compte
des risques CEM dès l'avance de phase doit permettre de préconiser les
meilleures solutions afin de minimiser le coût et l'impact des solutions
CEM sur l'architecture électrique et électronique du véhicule.
De part, les géométries complexes misee en œuvre dans un véhicule, le
recours à la simulation électromagnétique en trois dimensions est
nécessaire. Les équations de Maxwell constitue une synthèse harmonieuse
des diverses lois d'électromagnétisme. Les méthodes de calculs
permettant de résoudre les équations de Maxwell dans un espace en trois
dimensions sont nombreuses.
On peut tout d'abord présenter les méthodes dites intégrales. Elles
résolvent les équations de Maxwell exprimés sous la forme intégrale.
Elles sont l'avantage de ne pas mailler le volume de calcul total mais
seulement les structures filaires et les surfaces. Ces méthodes sont
résolues par la méthode des moments (MoM).
Il existe ensuite les méthodes dites différentielles qui résolvent les
équations aux dérivées partielles. Ces méthodes souvent qualifié de
volumique car elles travaillent généralement sur un volume englobant le
dispositif à traiter et fermé par des conditions aux limites. Les plus
connus sont les méthodes de type différences finies et de type éléments
finis. Le temps de calculs augmente très rapidement lorsque la fréquence
ou la taille de la structure augmente.
Il existe également des méthodes dites asymptotiques dont les plus
connues sont l'optique physique (OP), la théorie géométrique de la
diffraction (GTD), la théorie uniforme de la diffraction (UTD). Ces
méthodes, en simplifiant les équations de Maxwell à l'aide d'hypothèses
hautes fréquences, permettent de traiter efficacement les objets
surdimensionnés par rapport à la longueur d'onde. Ces méthodes ne seront
pas présentées davantage dans ce manuscrit.
Il faut préciser qu'il n'existe pas une famille de méthodes qui
surclassent les autres. Le choix de la méthode la plus appropriée dépend
de la nature du problème à résoudre.
Ce manuscrit n'ayant pas pour objectif de traiter très largement des
méthodes numériques de résolution des équations de Maxwell, seule la
méthode des moments sera abordée en raison du maillage surfacique. Cette
méthode est très utilisée lorsqu'il modéliser des structures de grandes
dimensions, tel qu'un véhicule.
\subsubsection{Méthode intégrale}\label{muxe9thode-intuxe9grale}
Les méthodes intégrales permettent de résoudre les équations de Maxwell
dans le domaine fréquentiel. Le principe de ces méthodes peut être
expliqué à l'aide de la figure~X.