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Si Slideshare peut bien sûr servir de plateforme de partage, mais il y a d'autres pistes à explorer comme SWITCHdrive (http://drive.switch.ch). Ce _Google Drive_ mis à disposition des universités et hautes écoles partenaires de SWITCH donne accès à un espace personnel de stockage en ligne de 25 Go. Il est possible de paramétrer l'outil pour permettre aux personnes non membres des universités ou hautes écoles partenaires du programme de déposer des documents et ainsi n'exclure personne. Intéressant, non?   Si le partage est fructueux et que les différents acteurs en expriment le désir, une collaboration peut s'établir. Pourquoi ne pas envisager dans quelques années de la co-création de support de cours par des membres de bibliothèques différentes. C'est évidemment plus difficile à mettre en place, car cela nécessite une consertation concertation  entre les parties concernées. De plus, mon expérience m'a montrée que notre hiérarchie n'est pas toujours très ouverte (ici, ouvert signifie "d'accord" :-)) à ce genre de collaboration. Mais qui sait cela pourrait changer... Par ailleurs, il n'est pas nécessaire de commencer par la co-création d'un cours. On peut très bien commencer par une bibliographie collaborative comme p. ex. celle initiée par Nathalie Favre sur l'utilisation des _clickers_ (boîtiers de vote) en formation sur https://www.zotero.org/groups/354929. Cela peut aussi prendre la forme d'une veille collaborative (avec Inoreader p. ex. - http://www.inoreader.com). Les sujets qui intéressent un grand nombre de bibliothécaires-formateurs ne manquent pas. La contrainte de la collaboration est que tous les collaborateurs doivent utiliser le même outil. Parmi les plateformes qui peuvent servir à collaborer, il y a Github (http://www.github.com), bien connu des développeurs informatiques, ou Gitbook (http://www.gitbook.com) qu'Igor Milhit m'a fait découvrir l'année dernière.